Collection Zone Rouge. Rêve…Ou Réalité (1/1)

• Mon père, je voudrais me confesser !
• Comment t’appelles-tu mon ?
• Mon , mon père, j’ai presque 18 ans, je suis loin d’être une , mes parents m’ont appelé Marie comme dans la chanson de Johnny.
• Marie, je suis le père Joseph, nouveau curé de ta paroisse.
• Je sais monsieur le curé, depuis la mort du père Benoit, nous attendions votre nomination.

Je me réveille en sursaut, quelle conne, je viens de rêver que le père Benoit était mort et remplacé par le père Joseph.
C’est un peu secoué que je pars au lycée, c’est l’année de mon bac.

• Alors Marie, ce pucelage ?
• Occupe-toi du tien Luc.
• Je suis allée voir la mère Casse Bite, elle m’a fait ça très bien.

La mère Casse Bite dans notre ville de province, c’est la vieille pute, Marie-Madeleine qui après sa retraite de Pigalle est venue se retirer dans la maison que lui ont léguée ses parents.
Il lui manque trois dents, elle est sans âge et fait ça au puceau pour 10 €.
J’ignore si c’est vrai, je suis une fille et même pour 1 €, si j’étais un garçon, je me garderais bien d’aller tremper mon pinceau dans cette chatte d’un autre âge.
Ce que j’attends, c’est le prince charmant qui saura me séduire et m’emporter loin de cette ville de pecnots.

La nuit suivante c’est presque avec anxiété que je me couche.
Ouf au matin, aucun rêve, qu’est-ce qui m’a pris à rêver d’un curé, surtout inexistant.
Pendant trois jours calmes plats, je fais des nuits sans rêve.

• Bonjour Marie, tu en as mis du temps à revenir.
Pour la confession, tu sais que tu peux demander à Dieu de te pardonner tes péchés, seule dans l’intérieur de ton coeur.
Mais dit moi, as-tu péché avec les garçons.
• Les garçons ?
• Oui, regardent ceux qui comme moi ont une bite, Marie.
• Père Joseph, pourquoi me montrez-vous ce gros machin tout violet ?
• Pour t’éviter de mourir idiote.


Mets ta main dessus.

C’est au moment où je pose ma main sur ce gros bâton, que je reviens sur terre.
Au secours, je me réveille en eau, j’émerge de ce rêve infâme, plus obscène que le premier.
Si ça continue il va falloir que je consulte.

Je me rends compte que pour la première fois, j’ai mis mes doigts sur ma chatte.
Me masturber, ça m’arrive comme la plupart des filles dès leur adolescence, mais ayant un peu honte, c’est rarement que je le fais.
Me caresser en dormant, c’est la première fois que j’en suis consciente.
J’ai parlé de consulter, mais que dire.
« Docteur j’aspire à pratiquer le sexe à mon âge, c’est normal. »
Surtout quand vous êtes devenue une jolie fille à belle poitrine sans être forte qui plus est, rousse aux yeux verts.
Je pourrais aller à confesse, mais dire au père Benoit, car à ma connaissance il est bien vivant, que son futur remplaçant, jeune de surcroit, a un comportement anormal, avec moi dans mes rêves.
C’est encourir, des Pater et des Ave Maria par dizaines, je préfère m’éviter une telle corvée.

• Marie, pourquoi te sauver chaque fois que nous franchissons une étape, tu sais que l’homme de ta vie, c’est moi.
• Mais vous êtes prêtre.
• Non, regarde bien je suis un homme.
• Mais nous sommes dans une église.
• Viens dans la sacristie si ça te convient mieux !
• La sacristie, pourquoi pas.
• Je vois que tu es dans de bonnes dispositions cette nuit, moi aussi.
• Ici, c’est mieux, agenouille-toi.
• Comme si je priais, ce serait mieux sur ce prie-Dieu !
• Tu as raison, c’est là que je le fais en attendant les offices.

La verge entre dans ma bouche, pour la première fois je fais une fellation.
Eh bien, sûr après quelques aller et retour jusqu’au fond de ma gorge, je me réveille en sursaut.
J’ai envie de hurler, laissez-moi à aller jusqu’au bout.
C’est frénétiquement que j’éteins le feu qui est en moi.

Je me masturbe le clito faisant sortir de mon corps des grandes quantités de liquide m’obligeant à cacher à ma mère mes draps que j’enfourne dans la machine avant qu’elle remarque mes déviances.

J’ai deux solutions à ce qui pourrait être un problème.
Trouver le premier venu et aller dans une chambre me faire enlever mon pucelage ou continuer à aller voir père Joseph même s’il est virtuel.
Je choisis la deuxième solution, me faire sauter par un inconnu me paraît une montagne impossible à franchir.
Qui plus ait, je dois reconnaître que le petit curé est mignon et que contrairement au film ou les acteurs vive 24 heures pour se retrouver dans la même situation que la veille, avec mon prêtre chaque rêve est différent.
Certainement frustré jusqu’à où mon cerveau va-t-il m’emmener.

• C’est bien, tu es venue directement à la sacristie, Marie.
• C’est très vilain de m’exciter et de me laisser tomber en pleine action.
• Je vois que tu prends goût à nos petits moments d’intimité !
• Fait-on du mal ?
• Non, entre adulte consentant.
• Je vois que vous avez préparé le terrain, vous avez déjà enlevé votre pantalon.
• Es-tu prête au sacrifice final ?
• C’est pour cela que vous avez remplacé le prie-Dieu par une chaise et que vous avez enlevé votre pantalon.
• Tu penses bien, enlève ta petite culotte.
• Je vous fais bander père Joseph !
• Oui, Marie, regarde, elle relève la tête.
• Asseyez-vous je vais vous sucer.
• Tu as raison, mais attention, ça peut partir rapidement.
Tient quesque je te disais.

Ai-je avalé du sperme ?
Je me pose la question en me réveillant, reprenant la notion de ma chambre, à travers les stores, il fait jour.
Ma bouche est sèche, il faut même que je la fasse marcher pour récupérer de la salive.
Comme je l’ai dit, je vais sur Internet et je sais que lors de fellations, il est possible d’avaler le sperme du partenaire.

Certaines femmes trouvent ça dégradant, je pense que ces rêves sont prémonitoires à la rencontre de l’homme de ma vie et m’apprends que lorsqu’il sera là, il faudra que je le suce pour le retenir et me le garder.
Trop de femmes rechignent à sucer et se retrouvent rapidement cocues.
Pour sur, cocue moi jamais.
Une nouvelle fois, je me masturbe, une nouvelle fois je lave mes draps discrètement.

• Excuse Marie, j’ai été au-dessous de tout, mais tu me fais tellement d’effet.
• Je vois que vous avez définitivement abandonné vos vœux de chasteté, comme moi, je suis prête à le faire alors que je pensais rester vierge jusqu’à mon mariage.
• Tu es folle, Marie, il faut baiser.
Tient, je suis assis, j’ai ma bite à l’air, je bande, viens t’empaler.

Je présente ma chatte à ce pieu et c’est moi qui me dépucelle.
Immédiatement des gerbes d’étincelles m’entour, je jouis, je jouis mille fois plus que lors de mes masturbations.

Il fait grand jour quand j’émerge, le plaisir que j’ai pris, a dû m’assommer.
Je baigne dans une mer liquide et froide, mon corps a dû expulser toute l’eau qu’il contient !
J’ai honte, et si ma vie est faite principalement de machine à laver chaque fois que je baise, là il faut sérieusement que je consulte.

Me souvenant de mon rêve, si ce que j’ai fait avec le père Joseph cette nuit, j’ai perdu mon pucelage.
Une solution, chaque fois que je me masturbe, j’arrive à faire entrer un seul doigt..
Voyons s’il en rentre plus.
Je me place dans une situation avilissante, les jambes largement écartées et je ponge mes doigts un et après deux.
Ouf, il est là, impossible de le franchir, autrement qu’en me déflorant moi-même.
C’était bien un rêve sauf pour l’eau qui a inondé mes doigts.
Mais quand tout cela va-t-il s’arrêter, vais-je devoir attendre la rencontre improbable de celui qui prendra mon cœur pour retrouver la sérénité d’avant ces rêves.


• Marie, merci de m’avoir offert ta virginité.
Il va de soi que cela reste entre nous.
Ma soutane était trempée de ta liqueur, Marie.
Savais-tu que tu es une femme fontaine, tu es la première femme à me montrer une telle particularité.
J’espère que j’ai été assez doux.
Viens me sucer, après je te reprendrais entièrement maintenant que je t’ai faite femme.

Mince quelle conne, au moment où j’allais me faire baiser.
Les toilettes de notre maison sont près de ma chambre, six heures, maman se lève pour préparer le petit déjeuner de papa, qui lui tire la chasse d’eau.
Ça m’a réveillé.
J’essaye de retrouver mon rêve sans succès pour aujourd’hui.

Aujourd’hui grand jour pour nous, nous préparons le réveillon de Noël.
Dans de nombreuses villes de nos régions, les curés ont déserté par manque de nombre dû à la pénurie des vocations.
Chez nous, le père Benoit célèbre toujours la messe de minuit.
Chez nous, c’est un rituel d’y aller en famille avant de manger des huitres et de la dinde toujours trop sèche.
Nous rentrons à l’église.
Le père Benoit est bien là contrairement à mes rêves.
Il est accompagné d’un autre prête noir.
Avant l’office, il prend la parole.

• Mes chers s, pour moi ce sera le dernier Noël que je fêterais avec vous dans cette église.
Je savais que ce jour arriverait et j’avais de grandes craintes que ce soit la dernière messe de minuit après mon départ.
J’ai beaucoup prié pour éviter cette solution.
Le très haut m’a exhaussé.
Je vous présente le père Joseph, venu du Ghana après avoir été ordonné prêtre.
Il parle français couramment, vous pourrez le rencontrer comme il vous plaira.
Je lui passe la parole avant de célébrer ma dernière messe.

Une chose extraordinaire se produit, le père Joseph est le même que le mien en noir.
Nous sommes arrivés assez en avance et nous sommes au premier rang.
Trois mètres nous séparent mes parents et moi des deux prêtes.
Père Joseph me regarde intensément avant de prendre la parole à son tour.
Il se présente.

• Je serais bref, sans être intégriste, je suis pour la confession.
Je saurais prendre tout mon temps pour ces moments de vérité en Dieu et vous.

J’ai du mal à détourner mes yeux de cet homme, même s’il est black.
Je sens que ma cyprine, mot que j’ai appris dans mes rêves, commence à couler.

Rêve…ou réalité.
Réalité…ou rêve, l’avenir nous le dira.
Mais qu’il ait doux de rêver.

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